Recueil des témoignages

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Proposé par : Cours PI
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Témoignage 11 – EAD

Je tiens, tout d’abord, à remercier Mme la Directrice et son équipe pour la qualité des cours dispensés, pour la finesse d’esprit, et pour cette façon intelligente d’aborder le même thème dans chaque matière avec une subtilité enrichissante pour l’enfant. Il en sort grandi en connaissance, et en découvertes avec une construction solide et mesurée.

Mes enfants aiment les textes des dictées qui suscitent en eux l’envie de lire le livre, et les dictées conduisent à la réflexion qu’elle soit littéraire, morale…

Dans les cours, on retrouve le sens des valeurs : la valeur des mots, les valeurs de la famille avec le respect des anciens, la retransmission du savoir-faire…

Oui, il y a un fil conducteur bien pensé et, module après module, mes enfants partent vers de nouveaux horizons. Ils devront se les approprier avant d’explorer, d’analyser, de comprendre et de retranscrire leur découverte. Ce n’est pas toujours facile même évident à certains moments, mais j’ai remarqué qu’ils grandissaient bien car leur intelligence était stimulée, leur capacité sollicitée, l’estime de soi mûrissait en eux et ils sont capables de rebondir et de prendre de la hauteur pour bien repartir.

Je dirais que le CPC est un bon outil pour apprendre à mes enfants l’amour de la persévérance, de la rigueur, et de la discipline. Sans cet apprentissage, il nous serait difficile d’atteindre nos objectifs. C’est un bon complément à l’éducation.

Note : ce témoignage a été partagé par un établissement d’EAD, le site instructionenfamille.org ne propose aucun cours.


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Témoignage 10 – EAD

Je tiens à vous dire que je suis très satisfaite de votre cours. J’ai retiré mon fils A. de l’école au moment des vacances de la Toussaint alors qu’il était en CM1. Pour ne vous citer qu’un exemple parmi tant d’autres, il ne connaissait ni la nature des mots, ni la conjugaison, et faisait partie quand même des bons élèves de la classe ! Suite à vos conseils, nous avons démarré le CE2(..). A. a fait TOUS les exercices oraux et écrits de français et de calcul car il en avait besoin. Aujourd’hui, je peux dresser un bilan très positif. Il a fait des progrès énormes. Je vous félicite et vous remercie pour votre cours très structuré. En effet, il existe un gouffre entre votre cours et ce qui se fait ou plutôt devrais-je dire ce qui ne se fait pas à l’école aujourd’hui. Votre cours est une vraie solution pour les familles qui ne peuvent pas avoir accès au hors contrat à cause du coût financier et de l’éloignement géographique. Par ailleurs, l’école à la maison permet une vraie souplesse par rapport au rythme de l’enfant.

Nous avons fait le choix de l’instruction en famille, pour passer davantage de temps ensemble, découvrir des nouvelles activités artistiques et sportives, voyager. Nous y tenons profondément, c’est notre mode de vie, notre liberté.

Note : ce témoignage a été partagé par un établissement d’EAD, le site instructionenfamille.org ne propose aucun cours.


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Témoignage 9 – EAD

Enlever la possibilité de l’instruction en famille, c’est favoriser l’échec des enfants qui ne se sentent pas bien à l’école. Chaque enfant, chaque personne, a des besoins particuliers. Nous sommes tous différents, et heureusement ! Pourquoi vouloir absolument que tous les enfants rentrent dans le même moule, alors que la beauté de notre vie est d’être unique ?

Le manque de moyens, de formations, est palpable. Les enseignants sont confrontés à des effectifs trop importants pour faire du cas-par-cas. Le niveau chute. Les enfants qui ont des capacités sont placés au fond ou désignés « moteurs de classe ». Pour les enfants qui rencontrent des difficultés, on sort la carte de l’orthophoniste en espérant qu’ils trouvent une solution… Parfois, ça fonctionne, et parfois non.

Laissez cette possibilité, cette porte ouverte qu’est l’IEF, afin que les enfants qui en ont besoin puissent continuer à avoir l’envie d’apprendre.


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Témoignage 8 – EAD

A. a presque 3 ans d’avance et est musicienne. C’est une enfant atypique. Elle a fait toute sa scolarité de manière classique tout en suivant des cours en enseignement à distance en parallèle en primaire. Cette année, elle est exclusivement élève en classe de 5ème en EAD. Si elle devait retourner au collège de manière classique, ce serait dramatique pour elle. En effet, il lui faut du temps et de la liberté pour pratiquer ses instruments, ce qui est impossible avec le volume horaire et la rigidité du collège classique. En outre, à 9 ans, être en 5ème est une gageure et elle a mal vécu le fait d’être exclue par ses condisciples. Sans parler du fait qu’elle s’ennuyait copieusement à l’école. Elle a trouvé un équilibre ainsi et est heureuse.


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Témoignage 7 – EAD

Si nous avons choisi ce mode d’instruction en EAD pour notre fils c’est pour plusieurs raisons. La principale est qu’il n’existe aucune structure à Annecy qui répond aux besoins d’un enfant à haut potentiel.

La deuxième raison est le niveau de plus en plus médiocre de l’instruction dispensée par les écoles publiques. Et enfin, il nous est beaucoup plus facile d’organiser le temps scolaire et les nombreuses activités extra-scolaires de notre fils (musique, dance, kung-fu).

Je précise que ce choix est partagé par notre fils lui-même avec qui nous faisons régulièrement le point aussi bien sur sa scolarité que sur ses activités extra-scolaires.


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Témoignage 6 – EAD

Nous avons débuté l’école à la maison par la force des choses. Notre deuxième enfant a développé une phobie scolaire à l’école en petite section. Haut potentiel, l’école n’a pas su lui trouver une place. Le rejet de l’école s’est installé, s’intensifiant durant des mois, se transformant en phobie (que nous avons découvert stupéfaits… ignorant tout de cette pathologie). Notre fille pleurait dès 18h le soir, ne dormait plus, s’isolait dans la cour de récréation et en classe, était mise à l’écart par l’aide maternelle durant sa crise de nerf à son arrivée en classe… bref… nous étions bien loin des objectifs de socialisation de la maternelle ! Testée par la psychologue scolaire, il nous a été suggéré de lui faire sauter un niveau, action refusée par l’école car les sauts de classe ne sont pas admis en maternelle. L’enseignante nous a avoué son incapacité à répondre aux besoins spécifiques de notre fille, et finalement, avec son aval et celui de la psychologue, et parce que l’instruction à domicile était légale et non stigmatisante, nous avons retiré notre enfant du « lieu école », pour l’instruire à la maison. Dès 6h du matin le lendemain, elle était à « son bureau » à la maison, nous demandant de travailler…

Sans école à la maison elle serait toujours en perte de repère, certainement en décrochage scolaire, inadaptée aux autres car elle a refusé pendant des années de se retrouver seule dans une pièce fermée ou un lieu qui ressemblait à une école… Après 5 ans d’école à la maison nous avons une fille brillante, qui adore étudier, qui multiplie les activités sportives et artistiques en groupe, qui part en colonie de vacances, parle en public sans peur, organise des concerts, et commence à penser sereinement à un retour en classe…. Et ceci sans aucun suivi médical, juste grâce aux bienfaits de la cellule familiale et des excellents cours par correspondance qui nous ont soutenus et permis de suivre sans faille le programme scolaire, permettant à notre fille d’être une élève normale et non pas comme cela devrait l’être en 2021 « se justifiant d’un problème de santé » pour suivre l’école à domicile.

Finalement, notre mode de vie a également trouvé une autre réponse dans l’école à la maison. Celle-ci nous a permis de donner à nos enfants une stabilité de vie, soutenus par des cours par correspondance répondant aux besoins et profils de chacun de nos enfants, et à la pointe des programmes scolaires et technologiques (cours en ligne, Skype de langues, zoom de classe inversée, réunion de parents-professeurs… ). En effet, expatriés depuis leur naissance, changeant régulièrement de pays, souvent en cour d’année, l’école à la maison et ses CPC est la seule variable, avec la cellule famille, qui ne change pas, leur permettant de concentrer leurs efforts sur leur intégration dans le pays.

Il est évident que notre objectif a toujours été que nos enfants suivent les programmes de l’Éducation nationale française, s’intègrent dans leur pays d’expatriation en douceur, ne soient pas isolés et aient des amis ! Et avec l’école à la maison c’est possible et finalement facile : « finalement je vois plus d’amis car une fois l’école finie, tous les après-midis, j’ai des activités ou bien nous nous invitons les uns les autres » (notre fils ainé, 12 ans).


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Témoignage 5 – EAD

Mon fils est au CP dans un établissement d’enseignement à distance.

C’est avec joie que je m’occupe de son instruction, et c’est un temps de partage que nous apprécions tous les deux.

Il est beaucoup plus en avance que ses copains et copines qui sont dans une école en présentiel.

Nous travaillons à son rythme et cela est très bénéfique pour son épanouissement et sa réussite !

Tous les gens que nous rencontrons le trouvent bien plus mûr que les autres.

Par ailleurs, le temps libre que lui laisse l’instruction à domicile lui permet de s’adonner à de nombreuses activités artistiques, comme par exemple la pratique de l’aquarelle, l’apprentissage du piano, ou la poterie. Cela lui permet aussi de faire plein d’activités sportives, notamment du basket, du karaté ou du cirque ! Autant d’activités qu’il devra abandonner, faute de temps, s’il est contraint de rejoindre une école « classique ». Ce serait terriblement dommageable !

Je suis révoltée que l’on puisse nous enlever ce droit et cette LIBERTE d’instruire nos enfants à domicile, alors que ce n’est que source de joie, de paix, de réussite et d’épanouissement personnel.


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Témoignage 4 – EAD

Mon fils est né en 2008. A 3 ans il allait en crèche 3 demi-journées par semaine, pour l’habituer progressivement à être séparé de nous et éviter le choc frontal en maternelle.

Il est rentré en maternelle et n’a jamais adhéré au système scolaire, impossible de faire la sieste, trop de monde pour lui, trop de bruit… Il avait du mal à se faire des copains. Tant bien que mal, il a fini la maternelle. Comme nous n’étions pas parti dans l’optique de faire l’école à la maison, nous avons poursuivi l’école classique. Il a fait sa rentrée au CP et l’état moral de mon fils s’est dégradé au fil du temps. Nous sommes toujours restés en lien avec l’école en participant à la kermesse, en accompagnant les enfants en sorties (piscine, musée…) et maintenant une bonne relation avec les instituteurs. Le papa est musicien et a fait une intervention à l’école. Mon fils n’arrivait pas à se faire beaucoup de copains, il se sentait très seul et a commencé à subir le harcèlement d’un élève. Nous avons organisé des sorties avec des camarades de classe, fait les anniversaires, des goûters… pour éviter qu’il ne soit trop à l’écart. En CM1 mon fils s’est de plus en plus renfermé sur lui-même et a commencé à nous parler d’envies de suicide ! Il était de plus en plus mal à l’école, ce qui se répercutait sérieusement sur notre vie de couple. Je récupérais mon fils abattu tous les soirs d’école. J’ai pris un rendez-vous avec la maîtresse qui me soumet l’idée que mon fils est possiblement autiste : je suis choquée par cette stigmatisation. J’essaie de lui faire entendre que mon enfant est malheureux à cause de l’école mais rien n’y fait, je prends un rendez-vous avec une psychologue pour aider mon fils et nous aider, et je vais moi aussi chez un psy…. La psy de mon fils ne décèle pas d’autisme, simplement un enfant très réservé. Les 4/5 séances lui font du bien, la parole se libère. Nous arrivons à prendre du recul, à nous recentrer et d’étudier plus calmement la situation. L’idée de l’école à la maison prend sa place dans nos têtes avec une école par correspondance. Nous soumettons l’idée à notre fils qui bondit de joie “enfin son cauchemar va s’arrêter”. Nous lui faisons une proposition, terminer sa primaire normalement, et faire l’école à la maison dès la 6ème.  

Le CM2 se passe, la seule chose à laquelle pense mon fils, c’est que c’est sa dernière année de souffrance. Il tient bon, il se motive.

Il emporte des livres pour la récréation pour se sentir moins seul, parfois il joue avec les autres, le fait de savoir que la porte de sortie est là le rend plus léger.

Pour la 6ème, nous l’inscrivons dans une école à distance, ils font faire des tests pour évaluer son niveau, je ne suis pas inquiète mon fils travaille bien à l’école. Résultat : mon fils a un niveau CE2 en français et pour le reste c’est Ok. Il est scolarisé sur deux niveaux, pour éviter un grand écart. Il fera français CE2 et le reste en CM2. Il faut reconnaître que le niveau est très élevé.

Deux mois après nous avons la visite de l’assistante sociale, très gentille et pleine de bons conseils.

Je vois mon fils changer au fil du temps, il s’ouvre, il s’épanouit, fini les colères, les crises de nerf, il travaille bien, fait des progrès en français, devient de plus en plus autonome. Il retrouve la curiosité qu’il avait perdue, sa joie de vivre. Bref je revois des étincelles dans les yeux de mon enfant.

Nous passons plus de temps ensemble, nous pouvons adapter le temps de travail, j’ai vraiment l’impression d’être impliquée dans son apprentissage, j’apprends petit à petit à respecter son rythme, je me prends de passion pour ce rôle supplémentaire, je sais que je lui transmets des connaissances importantes pour son futur.

Nous faisons aussi des sorties nettoyages bord de mer ou montagne. Il apprend ainsi qu’il est important de respecter, les gens, la vie, la nature.

En dehors de ses études, il fait du sport dans un club deux fois par semaine, il a des copains qui viennent dormir à la maison et parfois c’est lui qui dort chez eux. Il va à des anniversaires, il a une vie sociale normale. Pour notre religion, on est Chrétien, on fête Noël en famille et on fait le repas de Pâques, sans plus. Il connaît les grandes lignes du christianisme mais on ne l’a jamais inscrit au catéchisme. Il aime bien de temps en temps allumer une bougie pour son papi, sa mamie et sa mémé qui sont morts, parce qu’ils lui manquent beaucoup. 

On mange de la viande, du poisson, du pain, des légumes bio si possible, nous avons l’électricité, je suis propriétaire de notre logement, mon fils est vacciné.

Voilà, ma seule volonté, c’est que mon fils soit épanoui et heureux. Heureusement qu’il y a cette possibilité de faire l’école à la maison pour sortir d’un harcèlement et de la phobie scolaire qui en découle.

Je souhaite qu’il travaille bien à l’école, qu’il puisse faire les études qu’il souhaite plus tard. Qu’il reste la belle personne qu’il est, empathique, généreux, respectueux.


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Témoignage 3 – EAD

Mes trois enfants sont inscrits en établissement d’enseignement à distance. 

Ma fille a une phobie scolaire et mes deux garçons s’ennuyaient énormément à l’école.

Les devoirs n’étaient plus réalisés et leur capacité à s’émerveiller et poser des questions s’amenuisait petit à petit.

Les EAD leur ont permis d’avancer à leur rythme.

De retrouver cette capacité à s’émerveiller, à découvrir, à apprendre.

Mes trois enfants font des activités tous les jours : karaté, tennis, équitation, danse, escrime, natation, musique, tir à l’arc… Nous faisons des sorties fréquentes dans les musées, les châteaux…

Cette scolarité permet à mes enfants, sortant du moule, de vivre une scolarité épanouie.


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Témoignage 2 – EAD

Nous avons fait ce choix pour vivre cette merveilleuse aventure de l’apprentissage avec nos enfants, avec toute la richesse de pouvoir respecter son rythme, d’approfondir ses centres d’intérêt, de peaufiner ses difficultés avec tout le temps dont il a besoin, tout en respectant le cadre académique que l’Etat nous demande de respecter.

Nous ne sommes pas des hors la loi, des hors les murs de la République, des rebelles ou des combattants, des diviseurs de la République. Au contraire, nous la garantissons par l’épanouissement de nos enfants dans un pays qui respecte leur liberté et leur choix. Ils apprennent l’amour d’un pays et d’une patrie qui accepte leur liberté d’instruction et d’épanouissement. Et ils le rendent largement à la République en grandissant !


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